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Les écogestes pour votre collectivité

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Dans le contexte actuel de la crise énergétique, nous recherchons tous à faire des économies pour réduire notre facture d’énergie. Sur votre lieu de travail, de nombreux écogestes simples existent pour économiser l’électricité et le gaz. Nous vous donnons quelques conseils et astuces réalisables par tous vos collaborateurs.

La cuisine

Dégeler les produits avant la cuisson

Voici un écogeste simple, qui vous permettra d’économiser de l’énergie. En décongelant vos aliments avant de les cuire, vous permettez à votre appareil de cuisson (four, cuisinière, micro-pot en bois avec des fruits rouges congelésondes, etc.) de travailler de manière beaucoup plus efficace. Voici comment cela vous aide à économiser de l’énergie :

  1. Moins de temps de cuisson : Les aliments décongelés cuisent plus rapidement, réduisant ainsi la consommation d’énergie de votre appareil.
  2. Moins d’énergie gaspillée : En évitant de cuire des aliments encore congelés, vous évitez de chauffer inutilement votre four ou votre plaque de cuisson.
  3. Meilleure qualité des aliments : La décongélation préalable garantit une cuisson uniforme, ce qui signifie que vos plats seront plus savoureux et mieux cuits.

En adoptant cette simple habitude, vous contribuez à réduire votre empreinte carbone et à économiser de l’énergie, tout en continuant à savourer des repas délicieux.

Alors, la prochaine fois que vous préparerez un repas, pensez à décongeler vos ingrédients au préalable. C’est bon pour vous, c’est bon pour la planète !

L’éclairage public

Éclairer au solaire 

Pour les éclairages extérieurs, il existe de nombreuses lampes qui fonctionnent à l’énergie solaire ; elles s’allument le soir venu et s’éteignent automatiquement au lever du jour.

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La piscine

Baissez de 1° la température de vos bassins

Diminuer la température moyenne des bassins de 1°C (à 26,5 °C au lieu de 27,5 °C) permettrait d’économiser 216 011 kWh, soit 16 201 € actuellement et près de 26 000 € si les prix continuaient à augmenter. 

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Un établissement sportif

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Installer des détecteurs de présence dans l’établissement

Nous vous conseillons d’installer dans les vestiaires, toilettes et autres lieux de passage des détecteurs de présence ou des temporisateurs permettant d’éviter que l’éclairage des différents espaces soit allumé en période d’inactivité. 

 

Établir un programme de modulation et de régulation du chauffage

Le chauffage représente souvent le principal poste de consommation d’énergie d’un établissement sportif. Sans entreprendre de travaux de rénovation (ex. isolation, renouvellement chaudière…), vous pouvez établir une programmation horaire précise des consignes de température. Fixez, par exemple, les températures de consignes en hiver à 17°C dans la salle de sport et 21°C dans les vestiaires les jours d’occupation. Vous pouvez également ajuster la température lorsque votre bâtiment est inoccupé pendant plus de 48h. 

 

Mettre en place un programme de rénovation du bâtiment

Les établissements sportifs (ex. gymnase) sont souvent mal isolés et peu performants d’un point de vue énergétique. Même sans audit énergétique, vous pouvez planifier l’amélioration de l’isolation de votre établissement en remplaçant les menuiseries extérieures (15% de déperdition), en isolant les murs par l’extérieur (25% de déperdition) ou la toiture (30% de déperdition). 

 

Pourquoi choisir SÉLIA pour la fourniture de son énergie

Fournisseur multi-énergies, SÉLIA vous offre une vraie alternative. Plus que des solutions d’approvisionnement, opter pour SÉLIA, c’est faire le choix d’un service qui repose sur la proximité, la transparence tarifaire et des valeurs à partager.

 

 

Les bonnes raisons de choisir SÉLIA

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Des prix clairs et compétitifs

Avec SÉLIA, pas de faux-semblants, ni de promesses non tenues : nos tarifs sont clairs et précis, les contrats toujours respectés. La transparence est notre mot d’ordre.

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Des conseillers experts techniques 

Nos conseillers experts techniques dédiés sont des personnes bien réelles qui vous accompagnent avec la plus grande qualité et réactivité.

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SÉLIA est un fournisseur d’énergies à taille humaine, à vos côtés, accessible et disponible.

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Des services en lignes

Disponibles en toute autonomie et à tout moment pour optimiser la gestion de votre énergie et pour vous simplifier la vie.

Avec votre espace client SÉLIA :

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Protégé : Amortisseur électricité

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La CRE publie le niveau de demande d’ARENH pour 2025

écrêtement ARENH

 

Volume des demandes
134,93 TWh

Taux d’attribution
74,12 %

Taux d’écrêtement
25,88 %


___________________

Rappel sur le mécanisme ARENH

Avec l’ouverture du marché de l’électricité à la concurrence, il était essentiel d’encadrer l’Accès Régulé à l’Énergie Nucléaire Historique (ARENH). C’est ainsi que la loi de Nouvelle Organisation du Marché de l’Électricité (loi NOME) est entrée en vigueur le 1er juillet 2011.

Depuis cette date, les fournisseurs alternatifs peuvent donc accéder à l’électricité produite par les centrales nucléaires de l’opérateur historique.

Selon la règle, les volumes d’ARENH souscrits par les fournisseurs alternatifs ne peuvent excéder 25 % de la production du parc nucléaire historique, soit 100 TWh sur une année.

schéma guichet ARENH

Écrêtement 2024 pour les contrats de fourniture 2025

La CRE a annoncé en décembre 2024 que le volume des demandes effectuées par les fournisseurs d’électricité pour l’année 2025 avait atteint 134,93 TWh d’ARENH soit un taux d’attribution de 74,12 % et un taux d’écrêtement de 25,88 %.

Conséquences : les quantités distribuées à chaque fournisseur vont être diminuées, et le prix de l’électricité modifié en proportion du taux d’écrêtement.

Le mécanisme de l’ARENH prenant fin au 31 décembre 2025, il s’agit du dernier guichet ARENH. La CRE continue néanmoins à assurer le fonctionnement opérationnel du dispositif jusqu’aux calculs des compléments de prix en 2026.

 

SÉLIA s’engage auprès d’Ecowatt, la météo de l’énergie

ÉcoWatt, un dispositif pour contribuer à assurer le bon approvisionnement de tous en électricité

Dispositif citoyen porté par RTE (Réseau de Transport d’Electricité) et l’ADEME (Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie), ÉcoWatt a pour objectif d’accompagner les français à consommer moins et mieux au bon moment et ainsi de réduire les risques de coupure d’électricité en France.

 

La météo de l’énergie

ÉcoWatt qualifie en temps réel le niveau d’électricité disponible pour alimenter les consommateurs français.

Un dispositif d’alerte indique les périodes où les Français sont appelés à réduire ou décaler leur consommation d’électricité pour éviter les coupures ou en réduire leur durée.

 

Des alertes en temps réel avec l’application mobile

Téléchargez l’application ÉcoWatt pour savoir quand consommer au meilleur moment. Soyez informés des périodes pendant lesquelles la France peut couvrir tous ses besoins en électricité sans émettre de gaz à effet de serre.

 

Agir au bon moment !

ÉcoWatt vous permet de savoir à quel moment agir pour éviter les coupures.

De manière générale, en hiver, il y a deux moments dans la journée où la consommation des Français augmente fortement : entre 8h et 13h et entre 18h et 20h.

C’est donc durant ces périodes qu’il est particulièrement important d’anticiper sa consommation électrique lorsque cela est possible.

 

Les écogestes à adopter

Chacun d’entre nous avons le pouvoir de réduire notre consommation d’électricité en adoptant des gestes simples.

Ces écogestes peuvent avoir un véritable impact lors des alertes orange et rouge ÉcoWatt. Adopter des écogestes permettra d’éviter les coupures ou d’en réduire leur durée.

 

Pour une consommation plus responsable, découvrez nos écogestes SÉLIA.

Décret tertiaire

 

Décret n° 2019-771 du 23 juillet 2019 relatif aux obligations d’actions de réduction de la consommation d’énergie finale dans des bâtiments à usage tertiaire

 

Le Dispositif Eco Efficacité Tertiaire (DEET) également appelé « décret tertiaire » impose une réduction des consommations énergétiques progressive pour les bâtiments tertiaires. Issue de la loi Elan, cette nouvelle réglementation vise à économiser 60 % d’énergie finale dans ces bâtiments à l’horizon 2050.

 

 

 

La déclaration des consommations d’énergie pour les bâtiments à usage tertiaire

 

Les collectivités concernées

Le « décret tertiaire » s’adresse aux propriétaires et locataires de bâtiments ou locaux hébergeant des activités tertiaires du secteur public et du secteur privé, et dont la surface d’exploitation est supérieure ou égale à 1 000 m2.

  • La superficie prise en compte peut être cumulative si le bâti héberge plusieurs entreprises, ou si le site est composé de plusieurs bâtiments.
  • L’obligation d’action est imposée aux propriétaires bailleurs et aux locataires, le périmètre de responsabilité de chacun étant défini dans le bail de location.
  • Si le bâtiment cumule plus de 1000 m2 de superficie dédiée à des activités tertiaires, chacune des différentes parties liées par un bail commercial est tenue de déclarer ses consommations d’énergie et ce, même si individuellement, elles occupent une surface inférieure à 1000 m2.

 

Les structures qui peuvent être concernées sont les suivantes

  • Les commerces (dont garages, métiers de bouche, commerces de petites surfaces situés dans un centre commercial…)
  • Les bureaux (agences immobilières, banques…)
  • Les établissements logistiques
  • Les établissements de santé
  • établissements d’enseignement
  • Les infrastructures destinées aux sports, aux loisirs, aux transports
  • Les CHR (cafés, hôtels, restaurants)
  • de manière générale, tous les ERP (établissements destinés à recevoir du public).

 

 

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Les leviers d’action

  • Améliorer la performance énergétique et environnementale des bâtiments (optimisation de l’exploitation des équipements techniques et/ou l’installation d’équipements plus performants) ;
  • Installer des équipements performants ou des dispositifs permettant de contrôler ou de gérer ces équipements ;
  • Comprendre les modalités d’exploitation des équipements ;
  • Adapter les locaux à un usage économe en énergie et sensibiliser les occupants aux gestes à effectuer.
Connaître sa consommation permet de transmettre les bonnes informations à l’ADEME et de prendre les mesures nécessaires et efficaces pour réduire sa consommation énergétique.

 

 

La plateforme OPERAT conçue pour recueillir les données

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Les dépôts sont à effectuer sur OPERAT

 

 

Quelle sanction en cas d’absence de déclaration?

Si le propriétaire ou le preneur à bail ne respecte pas le décret tertiaire et qu’il ne justifie pas ses manquements, les sanctions peuvent aller jusqu’à une amende administrative de 1.500 euros pour les personnes physiques et 7.500 euros pour les personnes morales.

 

À quelle date transmettre les données sur la plateforme OPERAT ?

La date limite pour renseigner sur OPERAT, les données de consommations d’énergie de 2020 et 2021, ainsi que les données de consommation de l’année de référence, initialement fixée au 30 septembre 2022 est prolongée au 31 décembre 2022 en raison d’une tolérance accordée pour le remplissage de ces déclarations.

 

 

Comment SÉLIA peut vous accompagner dans ce dispositif ?

 

 

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Évolution TURPE 6

Chaque année, le TURPE (tarif d’utilisation des réseaux publics d’électricité) évolue, avec pour objectif principal de garantir aux gestionnaires de réseau les ressources nécessaires pour entretenir et moderniser le réseau tout en maîtrisant l’impact sur la facture des consommateurs.

 

Évolution au 1er février 2025

Dans sa délibération n° 2025-08 du 15 janvier 2025, la Commission de Régulation de l’Énergie (CRE), avance exceptionnellement la révision tarifaire du TURPE au 1er février 2025, au lieu du 1er août 2025.

Cette révision du TURPE entraîne une augmentation de 7,70 %.

Cette hausse permettra aux Gestionnaires de Réseaux de Distribution (GRD) de financer la forte croissance des investissements dans les réseaux et de supporter les charges importantes engendrées par la crise énergétique de ces deux dernières années.

Le TURPE 7 HTA-BT, prévu pour le 1er août 2025, aurait dû répercuter ces charges pour stabiliser les coûts des GRD, entraînant de ce fait, une hausse sur les factures. Anticiper l’augmentation du TURPE permet de lisser l’impact tarifaire sur une période plus longue (6 mois).

Et pour éviter des variations contraires des prix à quelques mois d’écart, la CRE a décidé de réviser le TURPE 6 au 1er février 2025, date de l’application du nouveau Tarif Réglementé de Vente.

Ce calendrier exceptionnel ne s’applique qu’en 2025. La prochaine révision tarifaire est prévue pour le 1er août 2026.

 

Programmation Pluriannuelle de l’Énergie (PPE)

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La diversification du mix de production d’électricité 

L’atteinte de la neutralité carbone à l’horizon 2050 est une priorité de la France pour répondre à l’enjeu climatique. Elle suppose que le mix électrique soit sur le long-terme totalement décarboné.

La France est engagée dans une diversification de son mix électrique, à la fois pour le rendre plus durable mais aussi pour augmenter sa résilience et accompagner le progrès technologique. Ainsi, le développement des énergies renouvelables doit permettre de produire plus d’énergies à partir de sources présentes sur le territoire et de réduire progressivement la part du nucléaire.

La Programmation Pluriannuelle de l’Énergie (PPE) prévoit en particulier de diversifier les mix énergétiques en favorisant la pénétration des énergies renouvelables et de récupération. Elle fixe pour 2028 l’objectif d’une accélération significative du rythme de développement des énergies renouvelables. Le système énergétique sera alors en capacité d’atteindre les objectifs de la loi pour 2030.

Concrètement, en matière de production, la France doit doubler sa capacité de production d’électricité d’origine renouvelable en dix ans ! D’ici 2028, elle devra être comprise entre 102 et 113 GW contre 50 GW fin 2018. C’est un des principaux objectifs de la PPE qui fixe les priorités d’action des pouvoirs publics en matière d’énergie. 

L’éolien et le photovoltaïque, les deux filières privilégiées

La PPE fait la part belle au photovoltaïque et à l’éolien en raison de leur compétitivité et de leur maturité. Il est prévu que la capacité de production photovoltaïque soit multipliée par 4 ou 5 d’ici 2028. Pour l’éolien terrestre, c’est une multiplication par environ 2,5 sur la même période. L’éolien en mer est également mis à contribution.

Pour les autres filières renouvelables, les objectifs de progression sont faibles. Si l’hydroélectricité est aujourd’hui la première source de production d’électricité renouvelable, son développement est limité par le potentiel disponible. Quant aux autres filières (biomasse, biogaz, géothermie), elles sont principalement réservées à la production de chaleur.

Évolution programmée des capacités de production d’électricité renouvelable

En GW Capacité installée en 2018 Objectifs 2023 Objectifs 2028
Hydroélectricité 25,5 25,7 26,4-26,7
Eolien terrestre 15,1 24,6 34,1-35,6
Eolien en mer 0,0 2,4 4,7-5,2
Photovoltaïque 8,5 20,6 35,6-44,5
Autres 1 1,1 1,2
Total 50 74 102 à 113

Sources : RTE (2018), Ministère de la transition écologique et solidaire (objectifs PPE 2023 et 2028)

Pour atteindre ces objectifs, les pouvoirs publics prévoient le lancement d’une dizaine d’appels d’offres par an.

L’arrêt de 14 centrales nucléaires d’ici 2035

Initialement prévu pour 2025, l’objectif de réduire la part du nucléaire à 50 % de la production d’électricité (contre 72 % en 2018) a été repoussé à 2035. Pour y parvenir, les pouvoirs publics ont acté l’arrêt de 14 réacteurs nucléaires à cet horizon. Outre la fermeture prochaine des deux réacteurs de Fessenheim, quatre réacteurs devraient être arrêtés entre 2025 et 2028. Les huit autres fermetures interviendraient entre 2029 et 2035. Pour ce qui est de la construction de nouveaux réacteurs, le Gouvernement va étudier la question d’ici mi-2021.

La politique énergétique française se fixe donc comme objectif d’avoir, à terme, un mix de production d’électricité plus diversifié.

 

Pour Rappel, la PPE en quelques chiffres :

Consommation finale d’énergie Baisse de 7% en 2023 par rapport à 2012 et de 14% en 2028
Consommation primaire des énergies fossiles Baisse de 20% de la consommation primaire d’énergies fossiles en 2023 par rapport à 2012 et de 35% en 2028
Consommation de chaleur renouvelable Consommation de 196 TWh en 2023 et entre 218 et 247 TWh en 2028
Émissions de gaz à effet de serre issues de la combustion d’énergie 277 MtCO2 en 2023
227 MtCO2 en 2028
Soit une réduction de 14% en 2023 et de 30% en 2028 par rapport à 2016 (322MtCO2)
Part de biogaz dans la consommation de gaz +10% en 2030
Capacités de production d’électricité renouvelables installées +50% en 2023 et doublement en 2028 par rapport à 2017.
Capacités de production d’électricité nucléaire 4 à 6 réacteurs nucléaires fermés d’ici 2030, en plus de ceux de Fessenheim
Fermeture de 14 réacteurs nucléaires d’ici 2035, date d’atteinte d’une part de 50 % d’électricité nucléaire dans le mix électrique..
Précarité énergétique Réduction du taux de précarité énergétique de 11,5% en 2017 à 9,5% en 2028

 

Pour en savoir plus : ecologie.gouv.fr

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